
Cette année, je pensais pouvoir me débrouiller seul en France. A ma question concernant une région avec une bonne prononciation française notre professeur de français a recommandé la vallée de la Loire entre environ Tours et Orléans. Un jour, j'ai eu l'idée de ne pas passer seulement du temps là-bas, mais aussi de fréquenter une école de langue.
J’ai trouvé CLE sur Internet. C’est l’école que j’ai préférée. Ensuite, tout a marché comme sur des roulettes. Après m’être inscrit, j’ai reçu promptement la confirmation d'inscription avec des informations considérables sur CLE, la ville de Tours et ses environs, des conseils pour le voyage, ainsi que les coordonnées d'un logement correspondant complètement aux critères que j’avais choisis.
La première matinée du cours, nous avions un examen pour l'évaluation de nos connaissances.
Mon placement dans un groupe était tout de suite idéal. Peu de participants ont été déplacés au cours des premiers jours dans des groupes qui correspondaient mieux à leurs connaissances. Toutes les classes et la bibliothèque sont accueillantes, seulement le bureau des directeurs se situe dans la plus mauvaise pièce de la maison. Ce fait témoigne aussi que les étudiants sont au centre de l'attention.
Le matin, on participait aux cours du groupe dans lequel auquel on avait été placé. Les deux après-midi de la semaine, on avait le choix. Ce que j'avais choisi, c'était toujours intéressant et m'a beaucoup apporté. L'offre des matériels pédagogiques, livres etc. dans les pages du site de CLE s'est complètement confirmée. Les enseignantes sont compréhensives, serviables et très compétentes pour former des étrangers. Six étudiants de différents pays étaient dans notre groupe. Les tâches étaient attribuées à tour de rôle. Parfois quelques étudiants étaient absents. Une fois j'ai eu un cours tout seul.
C'était intéressant aussi de faire la connaissance de gens de différents pays du Canada jusqu'à l’Australie et de faire des activités un peu ensemble. Cela aussi était encouragé par CLE.
À CLE pendant les deux semaines je me suis senti comme dans un pays de cocagne de la langue française.
Horst Aden (79), Allemagne
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